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Il est de notoriété publique que le débordement est mis à part son impact esthétique superflu compte tenu de la plus-value qu’il entraine. De plus, l’impact écologique d’une nouvelle construction prend une importance de plus en plus grande. La consommation d’eau dans le cas d’une piscine à débordement est un critère souvent évoqué. Voici un comparatif entre une piscine « traditionnelle » à Skimmers et une piscine à débordement. |
| Dans le premier cas, l’eau est aspirée par la pompe depuis le Skimmer, la bonde de fond et la prise balai. |
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| Il s’agit là d’un circuit fermé et la seule perte d’eau est générée par l’évaporation. |
| Dans le second cas, l’eau n’est pas aspirée depuis la piscine mais depuis un bac tampon. L’eau est ensuite renvoyée dans la piscine par des refoulements qui permettent un débordement et créent une nouvelle boucle et ainsi de suite. |
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L’avantage d’un tel système, est, qu’à consommation d’eau équivalente, il permet un meilleur recyclage de l’eau. En effet, celle-ci est uniformément aspirée sur toute sa surface, lieu où la pollution est la plus forte (poussières, huile solaire, pollen…), et les refoulements permettent à ces impuretés de remonter en surface C’est la raison principale pour laquelle les piscines publiques sont depuis longtemps à débordement. Ainsi, l’économie réalisée en termes de traitement de l’eau et le rendu visuel d’une eau généralement plus propre compensent le surcoût lié à l’évaporation d’eau. Il appartient alors à tout-un-chacun de faire son choix de technique compte-tenu des avantages et inconvénients de chaque solution. |
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